L’emblème de la libellule

La libellule comme emblème


La libellule est un animal fascinant.

La libellule est un animal qui symbolise le changement, l’adaptation, la transformation, le progrès.

 70 km/h, migration de 2000 km,

 

 

La métaphore de la libellule : changement, adaptation et progrès

Les libellules sont l’un des insectes les plus fascinants du royaume des invertébrés. Ils sont incroyablement rapides, ils peuvent même atteindre 85 km/h. L’un des aspects les plus attrayants pour les scientifiques et les curieux à leur sujet sont leurs yeux.

Ils possèdent environ 30 000 facettes hexagonales et chacune possède son propre cristallin et sa propre rétine. Tout cela dans un seul objectif : offrir l’une des vues les plus parfaites sur la nature, celle avec laquelle vous pourrez voir à 360º tout ce qui vous entoure d’un seul coup d’œil.

Or, au-delà de son anatomie, de ses couleurs éclatantes ou de son vol extraordinaire, il y a sa symbolique. La métaphore de la libellule prend racine dans de multiples cultures, les mêmes qui ont observé au cours de son cycle de vie une similitude avec notre propre existence. Analysons-la en détail.

 

Une vie de transformations

La libellule a un cycle de vie très particulier. Elle passe par trois phases très spécifiques dans sa métamorphose, qui vont de l’éclosion d’un œuf à la phase nymphale jusqu’à devenir une libellule spectaculaire. Ce voyage dure entre 3 et 6 ans, mais curieusement l’étape la plus courte est cette dernière.

Leur stade de libellule ne dure que quelques semaines. La majeure partie de son existence se déroule en tant que créature aquatique, une nymphe qui respire par des branchies et se nourrit de vers et de têtards. Plus tard, elle commence à se transformer, et ce voyage de changements l’oblige à subir environ 15 pertes de peau jusqu’à ce que ses ailes émergent.

Les libellules et nous-mêmes nous adaptons à ce voyage vital de changements où presque rien n’est statique. Elles comprennent que pour survivre dans n’importe quel environnement, il faut changer, perdre sa peau, abandonner ses anciennes habitudes. Ce n’est qu’alors que nous pourrons être ce qui a toujours été en nous et ce dont nous rêvons.

 

Vivez pleinement chaque jour

La métaphore de la libellule nous enseigne une leçon précieuse. Le besoin de profiter au maximum du quotidien. Lorsque la nymphe perd sa dernière peau et que ses ailes émergent, elle est consciente que son existence sera éphémère. Il est alors temps d’embrasser le vent, de voyager, d’explorer, de connaître un monde très éloigné de leur ancienne zone de confort : l’eau.

Nous aussi devons être capables d’apprécier la vie avec la même passion et la même délicatesse.

 

La métaphore de la libellule : l’équilibre

Au fil du temps, il y a quelque chose qui a fasciné presque toutes les cultures chez ces invertébrés : leurs ailes. Outre ses tonalités, ses jeux chromatiques et ses éclats, ses manœuvres de vol bien réglées attirent l’attention. Les libellules sont puissantes et gracieuses dans les airs même si elles ont passé une grande partie de leur vie dans l’eau.

Curieusement, elles battent des ailes environ 30 fois par minute (contrairement aux moustiques qui le font environ 600 fois). Elles ont 20 fois plus de force dans leurs ailes que les autres insectes et leurs manœuvres de vol sont très frappantes et précises.

Le Japon est l’une des cultures qui vénère le plus cet insecte car, pour eux, il symbolise précisément l’équilibre de la vie. 

Le dernier voyage vers l’au-delà

Pour les Amérindiens, la métaphore de la libellule représente un esprit directeur. Pour eux, cet invertébré rappelle le dernier voyage de tout être humain, celui où, après une longue vie, nous avons quitté le monde de la terre et de l’eau pour devenir une créature aérienne. Un être ailé qui monte enfin vers cette autre sphère où nous devenons des esprits, des âmes libres.

Ce sont, comme on le voit, des concepts intéressants et évocateurs. Des significations où se tresse la symbolique, la magie du monde animal et de ces cultures qui voient dans la nature, un miroir où l’on peut se voir reflété. Cela vaut la peine de le garder à l’esprit.

 

Nous partageons avec la libellule la capacité de transformation et d’adaptation aux situations.

 

Sous sa forme ultime de libellule, elle ne vivra que quelques semaines, c’est alors qu’il est temps de prendre son envol, d’embrasser le vent, de voyager, d’explorer, de connaître un monde très éloigné de leur ancienne zone de confort : l’eau.

Nous aussi devons être capables d’apprécier la vie avec la même passion et la même délicatesse.

Leur stade de libellule ne dure que quelques semaines.

La majeure partie de son existence se déroule en tant que créature aquatique, une nymphe qui respire par des branchies et se nourrit de vers et de têtards. Plus tard, elle commence à se transformer, et ce voyage de changements l’oblige à subir environ 15 pertes de peau jusqu’à ce que ses ailes émergent.

Les libellules et nous-mêmes nous adaptons à ce voyage vital de changements où presque rien n’est statique. Elles comprennent que pour survivre dans n’importe quel environnement, il faut changer, perdre sa peau, abandonner ses anciennes habitudes. Ce n’est qu’alors que nous pourrons être ce qui a toujours été en nous et ce dont nous rêvons.

 

 

 

 

 

 

 

 

La libellule symbolise également les cycles de vie.

Ses processus de transformation, depuis le moment où elle vit dans l’eau sous forme d’une nymphe jusqu’à celui où elle devient libellule, l’amènent à être en contact avec ces scènes essentielles de la nature elle-même.

 

il s’agit d’une créature appartenant à trois des sphères de ce monde : la terre, l’eau et l’air.

 

C’est une créature d’une grande beauté et d’une grande fragilité, et en même temps très puissante.

Ce sont des créatures éthérées et presque magiques qui bordent toute zone où il y a de l’eau et dont nous pouvons tirer diverses leçons.

 

 

 

Les libellules nous rappellent que nous sommes légers. Nous pouvons tous le refléter et l’offrir aux autres de manière puissante si nous choisissons de le faire.”.

–Robyn Nola-

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Cet insecte appartient à trois sphères de ce monde : la terre, l’eau et l’air, depuis le moment où elle n’est qu’un œuf, puis une nymphe, jusqu’à celui où elle devient libellule.

Elles sont incroyablement rapides, pouvant atteindre 85 km/h.  Leurs yeux leur offrent une des vues les plus parfaites, jusqu’à 360º, permettant de voir tout ce qui les entoure d’un seul coup d’oeil

La majeure partie de son existence se déroule en tant que créature aquatique, une nymphe qui respire par des branchies et se nourrit de vers et de têtards. Plus tard, elle commence à se transformer, et ce voyage de changements l’oblige à subir environ 15 pertes de peau jusqu’à ce que ses ailes émergent. 

Leur stade de libellule ne dure que quelques semaines. La majeure partie de son existence se déroule en tant que créature aquatique, une nymphe qui respire par des branchies et se nourrit de vers et de têtards. Plus tard, elle commence à se transformer, et ce voyage de changements l’oblige à subir environ 15 pertes de peau jusqu’à ce que ses ailes émergent.

Les libellules et nous-mêmes nous adaptons à ce voyage vital de changements où presque rien n’est statique. Elles comprennent que pour survivre dans n’importe quel environnement, il faut changer, perdre sa peau, abandonner ses anciennes habitudes. Ce n’est qu’alors que nous pourrons être ce qui a toujours été en nous et ce dont nous rêvons.

 

Vivez pleinement chaque jour

La métaphore de la libellule nous enseigne une leçon précieuse. Le besoin de profiter au maximum du quotidien. Lorsque la nymphe perd sa dernière peau et que ses ailes émergent, elle est consciente que son existence sera éphémère. Il est alors temps d’embrasser le vent, de voyager, d’explorer, de connaître un monde très éloigné de leur ancienne zone de confort : l’eau.

Nous aussi devons être capables d’apprécier la vie avec la même passion et la même délicatesse.

 

 

 

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Ce sont des créatures éthérées et presque magiques qui bordent toute zone où il y a de l’eau et dont nous pouvons tirer diverses leçons.

Les libellules nous rappellent que nous sommes légers. Nous pouvons tous le refléter et l’offrir aux autres de manière puissante si nous choisissons de le faire.”.

–Robyn Nola-

La métaphore de la libellule : changement, adaptation et progrès

Les anisoptères ou libellules sont l’un des insectes les plus fascinants du royaume des invertébrés. Ils sont incroyablement rapides, ils peuvent même atteindre 85 km/h. L’un des aspects les plus attrayants pour les scientifiques et les curieux à leur sujet sont leurs yeux.

Ils possèdent environ 30 000 facettes hexagonales et chacune possède son propre cristallin et sa propre rétine. Tout cela dans un seul objectif : offrir l’une des vues les plus parfaites sur la nature, celle avec laquelle vous pourrez voir à 360º tout ce qui vous entoure d’un seul coup d’œil.

Or, au-delà de son anatomie, de ses couleurs éclatantes ou de son vol extraordinaire, il y a sa symbolique. La métaphore de la libellule prend racine dans de multiples cultures, les mêmes qui ont observé au cours de son cycle de vie une similitude avec notre propre existence. Analysons-la en détail.

 

Une vie de transformations

La libellule a un cycle de vie très particulier. Elle passe par trois phases très spécifiques dans sa métamorphose, qui vont de l’éclosion d’un œuf à la phase nymphale jusqu’à devenir une libellule spectaculaire. Ce voyage dure entre 3 et 6 ans, mais curieusement l’étape la plus courte est cette dernière.

Leur stade de libellule ne dure que quelques semaines. La majeure partie de son existence se déroule en tant que créature aquatique, une nymphe qui respire par des branchies et se nourrit de vers et de têtards. Plus tard, elle commence à se transformer, et ce voyage de changements l’oblige à subir environ 15 pertes de peau jusqu’à ce que ses ailes émergent.

Les libellules et nous-mêmes nous adaptons à ce voyage vital de changements où presque rien n’est statique. Elles comprennent que pour survivre dans n’importe quel environnement, il faut changer, perdre sa peau, abandonner ses anciennes habitudes. Ce n’est qu’alors que nous pourrons être ce qui a toujours été en nous et ce dont nous rêvons.

 

Vivez pleinement chaque jour

La métaphore de la libellule nous enseigne une leçon précieuse. Le besoin de profiter au maximum du quotidien. Lorsque la nymphe perd sa dernière peau et que ses ailes émergent, elle est consciente que son existence sera éphémère. Il est alors temps d’embrasser le vent, de voyager, d’explorer, de connaître un monde très éloigné de leur ancienne zone de confort : l’eau.

Nous aussi devons être capables d’apprécier la vie avec la même passion et la même délicatesse.

 

La métaphore de la libellule : l’équilibre

Au fil du temps, il y a quelque chose qui a fasciné presque toutes les cultures chez ces invertébrés : leurs ailes. Outre ses tonalités, ses jeux chromatiques et ses éclats, ses manœuvres de vol bien réglées attirent l’attention. Les libellules sont puissantes et gracieuses dans les airs même si elles ont passé une grande partie de leur vie dans l’eau.

Curieusement, elles battent des ailes environ 30 fois par minute (contrairement aux moustiques qui le font environ 600 fois). Elles ont 20 fois plus de force dans leurs ailes que les autres insectes et leurs manœuvres de vol sont très frappantes et précises.

Le Japon est l’une des cultures qui vénère le plus cet insecte car, pour eux, il symbolise précisément l’équilibre de la vie. 

Le dernier voyage vers l’au-delà

Pour les Amérindiens, la métaphore de la libellule représente un esprit directeur. Pour eux, cet invertébré rappelle le dernier voyage de tout être humain, celui où, après une longue vie, nous avons quitté le monde de la terre et de l’eau pour devenir une créature aérienne. Un être ailé qui monte enfin vers cette autre sphère où nous devenons des esprits, des âmes libres.

Ce sont, comme on le voit, des concepts intéressants et évocateurs. Des significations où se tresse la symbolique, la magie du monde animal et de ces cultures qui voient dans la nature, un miroir où l’on peut se voir reflété. Cela vaut la peine de le garder à l’esprit.

 

 

Source : https://lamenteesmaravillosa.com/la-bella-metafora-de-la-libelula-y-los-ciclos-de-la-vida/